Solo
GOLDEN DREAMS
SCRIABINE
24 Préludes op.11 (35’)
CHOPIN
24 Préludes op.28 (43’)
La conception de l’album est née de cette idée de mettre en miroir deux compositions à la fois proches et si différentes. Le titre poétique fait référence à une citation de Liszt, où il évoque les Préludes de Chopin tels des « songes dorés », que je traduis en anglais par Golden Dreams.
Je me plonge à nouveau dans l’univers magique des Préludes, dans les « songes dorés »* de Chopin et de Scriabine. Chopin, le poète romantique polonais si sensible ; Scriabine, le moderne mystique russe qui composa, dans la lignée de Chopin, ses 24 Préludes, une oeuvre de jeunesse, déjà au langage neuf et audacieux, avec cependant des références explicites à l’oeuvre de Chopin. Deux hommes pianistes, compositeurs et poètes à leur façon, deux natures différentes et deux hommes si proches du coeur de Rachmaninov, un rappel à mon dernier programme de disque. En effet, la conception de cet album fait écho au précédent, The Landscapes of the Soul, 24 Préludes de Rachmaninov, avec ici un miroir entre les deux oeuvres : Chopin face à Scriabine. L’amour de la musique russe ne me quitte plus. Inspirée par mon mentor Boris Petrushansky, qui a d’ailleurs gravé une version des 24 Préludes de Scriabine peu joués, je reste fascinée par ces univers mystérieux, nostalgiques. A la fois des rêveries tendres, des chants surréels, dans lesquels on perçoit un jeu de rythmes peu classique, entre affection et mystère, fluidité de l’eau et évocations dramatiques, ces courtes pièces sont un vrai parcours coloré. Une palette à déployer, de larges couleurs différentes, des touches dorées, des préludes qui suivent une même logique d’écriture que ceux de Chopin : tonalité majeure, ton relatif mineur, puis on monte par cycle de quinte… Les Préludes de Chopin si connus, si parlants, si lyriques, doux et exaltés, avec cette finesse de composition et ce romantisme simple et pur, c’est avant tout de la dentelle. Cela me change de Rachmaninov ? Oui et non. Serais-je une grande romantique ? Peut-être bien que oui !
« Les Préludes de Chopin sont des compositions d’un ordre tout à fait à part. Ce ne sont pas seulement, ainsi que le titre pourrait le faire penser, des morceaux destinés à être joués en guise d’introduction à d’autres morceaux, ce sont des préludes poétiques, analogues à ceux d’un grand poète contemporain [Lamartine, précise Eigeldinger], qui bercent l’âme en des songes dorés, et l’élèvent jusqu’aux régions idéales. Admirables par leur diversité, le travail et le savoir qui s’y trouvent ne sont appréciables qu’à un scrupuleux examen. Tout y semble de premier jet, d’élan, de soudaine venue. Ils ont la libre et grande allure qui caractérise les oeuvres de génie. » Liszt, à propos des Préludes de Chopin
Par ailleurs, concernant l’oeuvre de Scriabine, le mot « doré » peut se référer au nombre d’or. En effet, « derrière les schémas formels simples de [ses oeuvres] (…) se cache tout un monde souterrain secret de proportions numériques, de sections dorées et de séries fibonaciennes, assez analogue à la géométrie invisible des peintres de la Renaissance. » (Scriabine et sa quête de l’Absolu !) dixit Manfred Kelkel dans son livre Alexandre Scriabine (Fayard)
LES PAYSAGES DE L’ÂME
Intégrale des 24 Préludes
« Chaque note est importante, mais il y a quelque chose d’aussi important que les notes, c’est l’âme, l’extraordinairement précieuse étincelle. L’âme est à la source des expressions les plus élevées de la musique » Sergueï Rachmaninoff
Le temps court, un moment où l’on vit l’instant présent intensément, où finalement le « prélude » initialement prévu pour être joué avant une pièce plus conséquente devient lui-même le centre de l’attention, plus que des « préludes », ce sont à la fois des études virtuoses (Prélude op. 32 n°4, n°13), des romances douces (op. 32 n°5, 11, op. 23 n°6), des nocturnes (op. 23 n°10), des récits au discours magique et poignant, tragique et à l’évocation romantique intacte. Bien évidemment, Rachmaninov s’est inspiré du génie de Chopin, de ses 24 Préludes (pensons à ses Variations sur un thème de Chopin op. 22, opus qui précède le livre des Préludes op. 23). Rachmaninov conçoit lui aussi, sans logique, l’utilisation de toutes les tonalités mineures et majeures : en effet nous passons d’un épisode dramatique, véritables cloches qui explosent (op. 3 n°2) à la douceur infinie de certains préludes (op. 32 n°5), entre onirisme et passion, le voyage en Russie post-romantique est assuré.
RACHMANINOFF
Intégrale 24 Préludes (1h20)
Possibilité de jouer une sélection des Préludes (1h)
Exemple de programme proposé (80 min):
Prélude, op. 3 n°2 (1892)
10 Préludes, op. 23 (1901-1903)
13 Préludes, op. 32 (1910)
Toujours je languis de désir,
Toujours mon âme vole vers toi,
Dans la pénombre du souvenir,
C’est ton image que je vois…
Ta chère image, inoubliée,
Partout, sans cesse, elle me suit,
Inaccessible, inaltérée,
Comme une étoile dans la nuit…
1848-1849
Fiodor Tiouttchev
HYPNOS
La nuit est l’un des thèmes les plus forts du romantisme. En effet, cette fascination de la nuit est liée à cet amour du mystère et du rêve. La nuit, toutes les visions irréelles peuvent s’imposer en oubliant tous les maux du jour. La nuit peut aussi être associée à un symbole du déclin de la vie humaine. Dans ce cas, le crépuscule représente les derniers soupirs de l’existence. De nombreux compositeurs du XIXe se sont intéressés à ce thème de la nuit, notamment Schumann avec ses Nachstücke, Chopin dans sa deuxième Sonate dite funèbre et dans ses Nocturnes, Clara Schumann avec ses Soirées musicales. Un monde nocturne si étincelant et touchant.
Robert SCHUMANN
4 Nachstücke op. 23 20’
Clara SCHUMANN
Soirées musicales op. 6 : Notturno 4’
BRAHMS
Klavierstücke op. 118 23’
CHOPIN
Nocturnes No. 2 op. 9, No. 1 op. 27 10’
Sonate funèbre 23’
AMERICAN KALEIDOSCOPE
100% Gershwin
« La vie est très semblable au jazz… C’est bien mieux quand vous improvisez. » George Gershwin
Gershwin
Piano works songbooks : The Man I Love, Fascinating Rhythm, Rialto Ripples, Do-Do-Do, I’ll Build a Stairway to Paradise, Somebody loves me, I got rhythm, That Certain Feeling, Nobody but you, Sweet and Low Down…
An American in Paris
3 Préludes
Rhapsody in Blue
LE JEU DES COULEURS
MANTOVANI
Quatre études (sélection), Jazz connotation 16’
LIGETI
Études : Arc-en-ciel, Fanfares 8’
DUBUGNON
Fugue pour la main gauche 5’
MESSIAEN
Huit Préludes : La colombe, Le nombre léger 6’
DUTILLEUX
Trois Préludes : D’ombre et de silence, Sur un même accord, Le jeu des contraires 13’
GERSHWIN
Trois Préludes 8’
RACHMANINOV, ÉTUDES-TABLEAUX, OP.33 & OP. 39
Intégrale
« Rachmaninov était plein d’une brûlante passion intérieure, c’était un homme très terrestre. Et sa musique invitait à plus d’humanisme, à la pureté de la pensée, toutes choses que l’on peut trouver dans chaque âme. Elle venait frapper à la porte des coeurs tout simples qui n’avaient pas encore eu le temps de se faner et ceux-ci lui répondaient. » Bajanov
En 1911, soit un an après la composition des Préludes opus 32, Sergueï Rachmaninov inaugure une première série de pièces pour piano intitulée Etudes-Tableaux, opus 33. En 1917, il compose l’opus 39, oeuvre de la fin de sa période russe. 1917 : année charnière, Révolution de février, il sent que sa place n’est plus en Russie. Le 23 décembre 1917, lui et sa famille quittent la Russie pour toujours.
Morceaux d’une concision élégante et juste, les Etudes-tableaux sont d’un lyrisme en forme d’esquisses qui sont susceptibles de créer chez l’auditeur des images concrètes et des états d’âme au sentiment fort. A la fois musique sombre, agressive, ou bouleversantes, des harmonies inouïes se font entendre.
« Je suis un compositeur russe, ma patrie a laissé son empreinte sur ma personnalité, c’est une musique russe. » Rachmaninov
DE CHOPIN À GERSHWIN
Ce n’est pas un hasard si ce programme réunit ces trois compositeurs du XIXe et XXe siècle. L’intérêt est de montrer différentes facettes de compositeurs qui ont un fond commun. A vrai dire, Rachmaninov a toujours adulé Chopin, il a beaucoup joué ses oeuvres et dans ces Préludes on ressent que c’est un véritable hommage à ce grand compositeur romantique qu’était Chopin ! Gershwin, lui, l’américain, n’est pas si éloigné du monde de Rachmaninov. Tous les deux ont vécu à New York, ils se sont connus.
12 février 1924 : Aeolian Hall, centre de Manhattan à New York, le clarinettiste Ross Gorman attaque le glissando de la Rhapsody in Blue. Toute la salle est sous le charme. Les violonistes Kreisler, Heifetz, les pianistes Rachmaninov et Godowsky… Le triomphe est impressionnant. Tout le monde se met debout pour applaudir. Selon Toscanini, « Gershwin est le seul véritable compositeur américain. »
Et Rachmaninov, lui, est-il plus russe qu’américain ? C’est à se demander dans quelle mesure il a été influencé par toutes les rencontres qu’il a faites à New York. Mais il est souvent nostalgique de sa terre, son âme est restée en Russie, il est souvent sombre et malheureux. Ses Préludes op. 32 si percutants et envoûtants, véritables hymne à la nature russe, il les a composés en 1910, au calme, entre deux voyages à Ivanovka. Gershwin comme Rachmaninov vénéraient Anton Rubinstein : « chacune de ses paroles était de l’or pur » disait Rachmaninov.
On parle de Préludes de Rachmaninov, et bien sûr, c’est un hommage vibrant à son compositeur fétiche, qu’il mettait sur un piédestal : Chopin. Rachmaninov partageait l’avis de son ami pianiste Rubinstein : « Chaque note de Chopin est d’or pur ».
La 4e Ballade est l’un des sommets de l’écriture harmonique chopinienne, et un des grands chefsd’oeuvre du répertoire pianistique romantique. Un programme varié qui nous fait voyager dans les ères romantique, post-romantique et jazzy !
GERSHWIN
Rhapsody in Blue
CHOPIN
Quatrième ballade
RACHMANINOV
Préludes, op. 32
SCHUMANN : LE ROUGE ET LE NOIR
Schumann, compositeur romantique par excellence, d’un caractère bipolaire – « Quoique déchiré aux racines mêmes de mon existence, il me faut créer tant qu’il fait jour », se positionne en compositeur passionné et déchiré. La passion, le rouge, le sang, l’amour, la chair, et d’un autre côté le caractère sombre, noir, dépressif et funeste. Mais c’est bien cette dépression qui sollicite sa création et son génie. Oeuvres géniales que sont les pièces pianistiques : Etudes Symphoniques, Carnaval, Scènes d’enfants, Quatuor, Quintette.
Études symphoniques, op. 13
Scènes d’enfants, op. 15
Carnaval, op. 9
ou
Quatuor piano et cordes, op. 47 (avec le Quatuor Hermès)
ou
Quintette piano et cordes, op. 44 (avec le Quatuor Hermès)
1905 IMPRESSIONS
Le programme Impressions 1905 réunit des oeuvres pianistiques du XXème siècle, composées vers 1905, de compositeurs liés au mouvement impressionniste en France: Debussy, Ravel, Albéniz. De la France à l’Espagne on se laisse bercer par ces Images debussystes et ces Miroirs ravéliens et par cette énergie et cette ardeur d’Isaac Albéniz venues d’Espagne. Le foisonnement d’images aquatiques (Reflets dans l’eau, Barque sur l’océan), l’évocation d’un lieu (El Albaicin, la Vallée des cloches) et de l’Espagne (Albéniz et Ravel avec l’Alborada) font l’unité de ce programme d’Impressions à la fois visuelles et spirituelles. Les Images résonnent avec les Miroirs et l’Iberia. Ces premières années du XXème siècle furent riches en renouvellement harmonique et en idées musicales d’impressions fugitives.
RAVEL
Miroirs (30′) (1904-1905)
Noctuelles
Oiseaux tristes
Une barque sur l’océan
Alborada del gracioso
La vallée des Cloches
DEBUSSY
Images I (15′) (1905)
Reflets dans l’eau
Hommage à Rameau
Mouvement
ALBÉNIZ
Iberia III (20′) (1905-1908)
El Albaicin
El Polo
Lavapiés


Concerto
BACH
Concerto en ré mineur, BWV 1052
BEETHOVEN
Concerto n°1, op. 15
Concerto n°3, op. 37
CHOPIN
Concerto n°2, op. 21
DEBUSSY
Fantaisie pour piano et orchestre
HAYDN
Concerto en ré majeur, Hob. XVIII/11
MOZART
Concerto n°13, K. 415
Concerto n°21, K. 467
PROKOFIEV
Concerto n°3, op. 26
RACHMANINOV
Concerto n°2, op. 18
RAVEL
Concerto en sol majeur
SAINT-SAËNS
Concertos (5)
SCHUMANN
Concerto en la mineur, op. 54
CLARA SCHUMANN
Concerto pour piano en la mineur, op. 7
Répertoire original:
DEVREESE
Concertos n°1, 2, 3, 4
GERSHWIN
Rhapsody in blue
KAPUSTIN
Concerto n°2, op. 14
Concerto pour deux pianos et percussion, op. 104
Musique de chambre
EN DUO AVEC VIOLON
TOTAL BRAHMS
Avec Solenne Païdassi
BRAHMS
Sonate violon piano n°1 en sol M op 78
Sonate violon piano n°2 en la M op 100
Sonate violon piano n°3 en ré m op 108
Durée : 70 minutes
HOMMAGE À RACHMANINOV
Avec David Haroutunian
GRIEG (1843-1907)
Sonate pour violon et piano no. 3 en do mineur, op. 45 (1886)
RACHMANINOV (1873-1943)
Romance et Danse hongroise pour violon et piano op. 6
TCHAIKOVSKI (1840-1893)
« Souvenir d’un lieu cher » – Scherzo et Mélodie
SCHUBERT (1797-1828) / LIZST (1811-1886)
Soirées de Vienne – Valse-Caprice no. 6 (arr. D. Oistrakh)
RACHMANINOV (1873-1943)
« Preghiera » d’après le Adagio sostenuto du 2ème concerto pour piano de Rachmaninov (arr. F. Kreisler)
KREISLER (1875-1962)
Liebesfreud – Liebesleid – Schoen Rosmarin
EN DUO AVEC VIOLONCELLE
HONNEUR AUX COMPOSITRICES
Avec Ophélie Gaillard
Robert SCHUMANN
Fantasiestücke Op. 73 10′
Clara SCHUMANN
Romances Op. 22 10′
BRAHMS
Sonate 1 23′
— PAUSE —
BONIS
Méditation et Sérénade 9′
BOULANGER
3 pièces pour violoncelle et piano 8′
PIAZZOLLA
Le Grand Tango 12′
A QUATRE MAINS
Avec Boris Petrushansky ou Maryam Ilyasova
MOZART
Sonate en ut majeur, KV 521
SCHUBERT
Lebensstürme, allegro en la mineur, D 947
BRAHMS
Liebeslieder Waltzer, op. 52
Danses hongroises (sélection)
EN TRIO
FRANCE VERSUS ALLEMAGNE
Avec Hervé Joulain et Deborah Nemtanu
KOECHLIN
Quatre petites Pièces Op. 32 (trio)
SCHUMANN
Sonate N° 1 pour violon et piano en la mineur Op. 105
BRAHMS
Trio pour piano, violon et cor en mi bémol Majeur Op. 40
EN QUINTETTE
BORODINE
Quintette pour piano et cordes
BRAHMS
Quintette pour piano et cordes op. 34
CHOSTAKOVITCH
Quintette pour piano et cordes op. 57
DUPONT
Poème pour piano et quatuor à cordes
FRANCK
Quintette pour piano et cordes en fa mineur ,FWV 7
SCHUMANN
Quintette pour piano et cordes en mi bémol majeur, op. 44
Quatuor pour piano et cordes en mi bémol majeur ,op. 47
FAURÉ
Quintette pour piano et cordes n°1 en ré mineur, op. 89
SAINT-SAËNS
Quintette pour piano et cordes en la mineur, op. 14
CHAUSSON
Concert


Projets spéciaux
GOLDEN DREAMS : UN CONCERT EN BANDE DESSINÉE
SCRIABINE
24 Préludes op. 11
CHOPIN
24 Préludes op. 28
Fanny Azzuro, pianiste
Olivier Crépin, dessinateur
Dans ce récit, dont les 48 scènes dessinées par Olivier Crépin répondent aux 48 préludes de Scriabine et Chopin interprétés par Fanny Azzuro, un jeune pianiste se lance dans une quête de perfection aussi impossible qu’absurde. Reprenant les codes du récit initiatique pour mieux s’en détourner, le ton devient parfois absurde, parfois mordant, tandis que le spectateur plonge dans les rêves dorés du jeune pianiste.
Verra-t-on passer dans son monde intérieur onirique Chopin et Scriabine ? Cette question reste ouverte, comme la suivante : assiste-t-on à un concert dont les émotions sont décuplées par le récit, ou à une bande dessinée transcendée par l’incroyable virtuosité de la pianiste qui se produit sur scène ?
Les deux artistes laisseront les spectateurs, petits et grands, interpréter à leur guise cette œuvre innovante dont l’hybridité se retrouve aussi à l’intérieur du récit ; ce dernier empruntant autant aux contes philosophiques qu’au récit jeunesse, mêlant esthétique numérique et composition des images, à la manière d’une création en papier découpé.
CONCERT-DANSÉ
avec Popaul Amisi, danse
GERSHWIN
Rhapsody in Blue, 3 Préludes (25’)
KAPUSTIN
Suite in the Old Style, Variations op. 41 (20’)
PIAZZOLLA
Adios Noniño Las Cuatro Estaciones Porteñas (extraits)
Libertango (20’)
Deux univers différents, deux cultures différentes et pourtant tant de complémentarité sur scène. Ce concert dansé propose, avec légèreté, allégresse et audace, un partage entre piano et danse, entre métissage et tradition, une musique groovy, à la rythmique d’une énergie débordante qui nous conduit au jazz de Gershwin et à celui de Kapustin, jusqu’au tango endiablé d’Astor Piazzolla avec des arrangements originaux de son pianiste Pablo Ziegler.
Des couleurs épicées en perspective !
CONCERTI VERSION DE CHAMBRE
Piano et Quintette à cordes
BEETHOVEN
Concerto n°1
version de chambre (Arr. Lachner)
Piano et Quintette à cordes
vidéo
BACH
Concerto en ré mineur
BWV 1052
CHOPIN
2ème Concerto