Médias généralistes
La pianiste française rayonne dans les instants éphémères confiés par Scriabine, livrant avec limpidité des impressions baignées de lyrisme et de luminosité.
Melissa Khong, Magazine Pianiste, janvier 2025
Impressionnante, la pianiste Fanny Azzuro n’a pas peur des défis.
Une artiste à découvrir.
France 2 – Le Passage des arts par Claire Chazal – 16 janvier 2022
Diplômée du Conservatoire national supérieur de musique de Paris, cette pianiste est la première Française à graver l’intégrale des Préludes de Rachmaninov*. Un défisoufflé par le fondateur de La Folle Journée de Nantes, René Martin, que cette interprète passionnée formée à l’école russe a relevé haut la main.
Jérôme Carron – Point de vue, l’élue de la semaine – 12 janvier 2022
Fanny Azzuro ose des silences, des « retards » ou des emballements pour émouvoir, pour charmer, pour interroger aussi ? Et pour laisser respirer la musique d’un souffle ample ou plus léger…
Emmanuelle Giuliani, La Croix, décembre 2024
Sous les doigts de Fanny Azzuro, le lyrisme poignant de Rachmaninov s’épanouit en un bel équilibre entre la passion et l’intégrité, la griserie du piano roi et la clarté des lignes. L’artiste instaure un climat ardent où flotte une mélancolie, particulièrement émouvante dans les préludes au tempo retenu ou ceux qui sollicitent le grave de l’instrument. Cette délicatesse trace les contours d’une interprétation profonde mais sans pesanteur qui s’adresse à l’auditeur comme à un ami, à un confident (…).
Emmanuelle Giuliani – La Croix L’hebdo – 10 janvier 2022
Son premier album Russian Impulse (Paraty) est dédié à la musique de Rachmaninov, Prokofiev et Kapustin, qui sied à merveille à son tempérament de feu.
TGV Magazine – Séverine Garnier – Septembre 2014
Fanny Azzuro trace son sillon en France, mais aussi en Europe, aux États-Unis, au Brésil, passionnée de musique russe, sous l’influence de Boris Petrushansky, dont elle a suivi les cours, elle grave les 24 Préludes du chantre de l’âme russe post-romantique, Rachmaninov. Une oeuvre qui s’inscrit dans la filiation des 24 Préludes de Chopin, son illustre prédécesseur. Filiation que nous livre avec brio et une sensibilité féminine remarquée cette artiste talentueuse, passionnée de… tango!
Laurent Erre – Homme Deluxe – Décembre 2021
Le célèbre Prélude en ut dièse mineur (op. 2) qui ouvre cette magnifique plongée dans l’univers de Sergueï Rachmaninov (1873-1943) livre les principales clés de l’interprétation de Fanny Azzuro. Un jeu à la fois décidé et posé, profond et éclairant, une descente en soi qui révèle un espace de partage illimité. Et, par-dessus tout, une lisibilité qui ne va pas à l’encontre du caractère torrentiel propre à l’expression du compositeur. Sous les doigts de la jeune pianiste, tout est parfaitement articulé : la note colorée au sein d’un agrégat, l’accord déployé au service d’une mélodie, le chant transcendé par une effusion virtuose. Qu’ils séduisent par la fluidité (n° 1), le relief (n° 2) ou la mobilité (n° 7), les Préludes de l’op. 23 réalisent un parfait équilibre entre élan instinctif et parcours réfléchi. Pourvus d’un semblable magnétisme, ceux de l’op. 32 (le lancinant n° 2, l’étourdissant n° 8, le translucide n° 12) confèrent à cet enregistrement le statut de référence.
Pierre Gervasoni – Le Monde, Sélection album de la semaine – 23 Octobre 2021
La brillante Fanny Azzuro joue pour la première fois à la Roque d’Anthéron sous le ciel provençal qui l’a vue naître. Elle nous raconte son rêve de gosse.
En concert le 3 août. Festival International de Piano, la Roque d’Anthéron
Sélection – Elle Culture Été – 31 juillet 2020